ATFG - Antony
Amis du Théâtre Firmin Gémier
Actualités théâtrales et culturelles
Automne-Hiver 2009
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La sélection artistique et théâtrale de l'ATFG - 4ème trimestre 2009
La semaine des pratique amateur, au Théâtre Firmin Gémier d'Antony, septembre 2009
A l'espace Cirque, La Compagnie Rasposo, Le Chant du Dindon : brillantissime !
La Sélection artistique et théâtrale de l'ATFG
4ème Trimestre 2009
La Sélection théâtrale et artistique de l'ATFG
4ème Trimestre 2009
L'Homme à tête de Chou (c) Photo Stéphane Drapier
- Du 12 au 20 septembre 2009, au Théâtre Firmin Gémier d'Antony, la semaine des pratiques amateur.
Le Chant du Dindon par la Compagnie Rasposo, à l'Espace Cirque d'Antony, du 25 septembre au 4 octobre 2009.
Jean-Jacques Rousseau, pages arrachées aux Rêveries du promeneur solitaire, aux Confessions et à La Lettre à d’Alembert par Bernard Chartreux et Jean Jourdheuil, mise en scène de Michel Raskine,au Théâtre 71, Malakoff, du 29 septembre au 17 octobre 2009.
- Intégrale des Partitas et Sonates pour violon de Jean-Sébastien Bach par David Grimal, le 22 octobre 2009 et le 6 avril 2010, au Théâtre Firmin Gémier, Antony.
We are L’Europe de Jean-Charles Massera, mise en scène de Benoît Lambert, au Théâtre 71, Malakoff, du 28 novembre au 5 décembre 2009. Une brillante critique de notre société et de ceux qui critiquent notre société ...
L’Homme à tête de chou, musique et paroles de Gainsbourg, interprétation par Alain Baschung, chorégraphie de Jean-Claude Galotta, au Théâtre du Rond-Point, du 27 novembre au 19 décembre 2009.
Une maison de poupée de Henrik Ibsen, mise en scène de Stéphane Braunschweig, au Théâtre National de la Colline, du 14 novembre au 20 décembre 2009 et du 9 au 16 janvier 2010.
- Le Cirque invisible par Victoria Chaplin et et Jean-Baptiste Thierrée, au Théâtre du Rond-Point, du 23 décembre 2009 au 16 janvier 2010. Virtuosités poétiques et burlesques de Jean-Baptiste Thierré et Victoria Chaplin.
Du 12 au 20 septembre 2009 au Théâtre Firmin Gémier - Antony
La semaine des pratiques amateurs
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Zadig ou la destinée, de Georges Coulonges d'après Voltaire, mise en scène de Gwenhaël de Gouvello, jeudi 17 septembre et vendredi 18 septembre 2009 (20h30).
- Le Songe d'une Nuit d'été de William Shakespeare, mise en scène de Brigitte Damiens et Stephen Szekely, samedi 19 septembre (20h30) et dimanche 20 septembre 2009 (17h).
Le cHœur à l'ouvrage
Montage de 13 textes
(de Roland Dubillard à Jean-Claude Grumberg)
montés et mis en scène par
Christiane Baillet, Pascal Baillet, Isabelle Béjuit, Luce Blanchard, Etienne Carrière, Annic Couche, Florinda Ferreira, Chloé Hallaert, Nicole Guidon, Jean-Pierre Lacroix, Arnaud Lavergne, Florence Mignot, Ludovic Le Moigne, Joël Pain, Martine Pelletier, Virginie Rescourio, François Tosi, Eric Vidal
Roland Dubillard
Jean-Luc Lagarce
Ferenc Molnar
Wajdi Mouawad
Tennessee Williams
Georges Feydeau
Jules Romain
Michel Audiard,
Anton Tchékhov
Remi de Vos
Molière
Jean-Claude Grumberg
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du 25 septembre
au 4 octobre 2009.
par la Compagnie Rasposo
Brillantissime ! Quand le spectacle commence, on ne sait pas s'il commence ! Règne un gentil fourbi, la troupe finit (?) de dîner, un manipulateur de ficelles discute avec les « passagers du premier rang » qui seront souvent mis à contribution. Et puis, le spectacle se structure, un acrobate monte (et surtout) descend le long d'un mât, c'est à vous couper le souffle. Une contorsionniste s'habille et se déshabille.Avec des chaises, des équilibristes font des montages superposés que les lois de de la physique devraient interdire. Une musique d'enfer accompagne tout le spectacle.
Après l'entracte, c'est encore pire : un couple de trapézistes fait un numéro de « trapèze sans trapèze », et on ne comprend pas pourquoi il n'y a pas de filet : c'est stressant, et beau. Le numéro de « corde volante » est incompréhensible : comment un être humain peut-il arriver à faire des choses pareilles avec une corde ? Et la fil-de-feriste, fait-elle sur son fil des pas de danse autorisés par la loi (de la gravitation) ?
On a compris que le spectacle a été ovationné par le public, enthousiaste. Ah oui, en plus de la virtuosité acrobatique, du charme de ces choragraphies - aériennes, entre terre et ciel (enfin, le haut du chapiteau), ou au ras du sol - le spectacle est aussi très drôle. Une autre chose encore : pendant les numéros les plus stressants, le public applaudissait peu, car il avait autre choses à faire : regarder et respirer. Il s'est donc, comme on l'a dit, rattrapé à la fin. Mais ce bouche-à-oreille est inutile, le spectacle affiche complet.
J.-L. L.